J’ai ajouté la mère Noël au destinataire d’usage, car je n’accepte toujours pas qu’on doive implorer encore le patriarche pour réaliser nos vœux, alors qu’on sait d’emblée que c’est le matriarcat qui gère tout le paysage des festivités, des attentions, des surprises, du « prendre soin », avec toute l’organisation qui vient avec.
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Que nous ayons accès à des aliments sains, sans pesticides ni additifs cancérigènes qui pullulent sur les tablettes d’épiceries. Pour ce faire, puissions-nous espérer une gestion — version durable et humaine — de nos terres agricoles. Dans cette veine, prière de ne pas vendre les produits toxiques – désormais interdits ici — aux pays en voie de développement, sous prétexte que nous sommes dans un contexte d’économie de marché;
Que les enfants puissent aller à l’école et vivre sous un toit qui les protège, sans antennes qui les bombardent d’ondes électromagnétiques, qu'ils aient de quoi se nourrir, des bras pour les chérir, et un peu de magie qui ferait la balance avec leur quotidien stressant, bref, qu’ils respirent une vie d’enfants. Et qu'on cesse de leur dire d'être sages. Qu'on tente d'être des modèles, ils nous imiteront;
Accepter de s’affranchir de notre droit de parole, et prendre conscience qu’on récolte les politiciens qu’on mérite;
Être plus souvent autour d’une table avec l’amour au menu, faisant fi du décorum;
Repérer et engager un coach d’écriture: être de plus en mesure de me soustraire à la pression sociale de productivité pour me libérer des « images » de succès;
Être désormais centrée sur ce que je pourrais apporter à la vie plutôt que ce que la vie a à m’offrir;
Rire et boire du thé vert à perpétuité.
Ce message est bon pour mon âme...
RépondreSupprimerMerci
C'est ce qui me touche le plus au monde, toucher les âmes. Merci d'être là pour accueillir!
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