mercredi 9 juin 2010

Bouquet de livres d'été

J’avais pourtant prévenu que je n’écrirais plus le mercredi, mais c’est plus fort que moi. Tant de choses à écrire, tant de choses à vivre. Propulsée par le tsunami d’amour du repas festif d’hier avec mes enfants, conjugué au fait que je serai en vacances du 19 juin au 6 juillet, je m’empresse de m’étendre sur le papier – virtuel – pendant les journées restantes. Je vous donnerai peu à peu les indices de notre voyage. La réponse sera dévêtue juste avant le départ.


En attendant, je vous propose un bouquet de livres d’été.

La fille de papier, de Guillaume Musso . J’ai dévoré. Littéralement. Je suis une fan de cet auteur prolifique. Mettez la main sur tous ses livres et dégustez des sorbets aux framboises.

Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi. Inutile de vous louanger à nouveau Katherine Pancol.

Solitude face à la mer, de Anne Lindbergh. Écrit en 1955, réédité en 75, en 83 et enfin en 2001, c’est mon livre fétiche d’été. Je le relis à chaque vacances. Les pages sont écornées, surlignées, quelques grains de sable s’y nichent encore. Étant donné mon amour incommensurable pour la mer, les coquillages, et la réflexion, ce bouquin m’accompagnera des années encore.

Les piliers de la terre, de Ken Follet. Incontournable.

Croisière maudite, de Preston et Child, 2009. Thriller garanti.

L’épouvantail, de Michael Connelly. Le maître des polars. Nuit blanche à venir.

Le meilleur de nos fils, Donna Leon, 2006. J’ai lu presque tous ses livres, car l’histoire de sa vie d’écrivaine est fascinante. Américaine et mère de trois enfants, elle encourage son mari à accepter le poste proposé à Venise. La famille s’installe. Tout en découvrant cette exceptionnelle ville et se consacrant à la vie de famille, elle écrit un premier roman avec succès. Les cafés et repas du commissaire Brunetti nous font saliver, tout au long de ses aventures vénitiennes. Donna Leon demeure toujours à Venise et vient de publier son quinzième roman, Requiem pour une cité de verre. À connaître.

Dans mes valises, j’emporterai :

Ne dites pas à ma mère que je suis voyante, elle me croit libraire à Vancouver, de Eileen Cook. Rire et délire.

Maudit karma, de David Safier. Coup de cœur Renaud-Bray, lecture d’été à ne pas rater.

Extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet, de Reif Larsen. Fascinant.

La cinquantaine en Provence, de Yves Lamontagne



Comme si de rien n’était, quelques indices concernant le voyage ont été glissés dans ce texte.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire