mercredi 18 avril 2012

Une marche, une poésie, un peu d'espoir

Il apparaît que notre petit pays éclabousse de son chaos un peu partout. Semble révolue l’époque où l’on abdiquait devant la bêtise, en s’excusant, tête baissée, d’être bafoué, exploité et humilié. Une rafale d’indignation souffle sur cette palette de décideurs qui séquestre tous les mots de notre roman collectif.

Il semble que même le silence a une fin.

Devant cette pluie d’éteignoirs de rêve, recherchons diligemment des parapluies bienveillants.

Une conscience émergente de notre richesse globale étincèle. Ça pétille. Des génies visionnaires s’attèlent à planter des semences d’alliance, de coalition, de partage, d’équité afin que nos enfants grandissent dans une communauté digne de ce nom.

Des pas se tracent sur la fierté fragile de notre Terre-mère. Certains pas dérapent sur les passages trop escarpés, sans poésie. On apprend à se tenir debout.

Le 22 avril, les cloches résonneront en écho à notre résilience et à notre désir de créer un monde meilleur.

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