Il y a
des petits matins où l’on s’inscrit à des fouilles archéologiques pour
dénicher des perles de nouvelles. Bonnes nouvelles. Les inspirantes, celles qui
offrent un baume à nos palpitations émotives malaxées par les clameurs
sociales. Celles qui nous font espérer des happy
end, des dénouements heureux, des images réconfortantes.
Depuis
quelques mois, il est difficile de ne pas être écorchés par les événements et d’y
poser les jalons qui nous permettraient de contribuer à un mieux-être
collectif. Les catastrophes sont là
pour éviter le pire, disait la grande sage Christiane Singer. Je ne demande
qu’à le vivre. Et devant tout ce qui bourgeonne autour de moi, je mise sur des pépites de trésors pour les aubes grises.
Et je garde espoir. Merci Blanche pour cette perle: en plein coeur de New-York, une femme fait pousser des légumes chez-elle et partage le concept pour une planète équitable et saine.
Et je garde espoir. Merci Blanche pour cette perle: en plein coeur de New-York, une femme fait pousser des légumes chez-elle et partage le concept pour une planète équitable et saine.
Katherine Pancol, quant à elle, nous présente avec tendresse une histoire - vraie- qui illustre lumineusement qu'aucun être vivant n'est fait pour vivre sans amour. Son blogue ici.
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